Le conseil municipal est composé de 14 membres élus depuis le 15 mars 2020. Monsieur Frédéric DELESTRE, maire depuis 2016 a été réélu au conseil municipal d’installation du 26 mai 2020.
M. Frédéric DELESTRE, Maire
Mme Céline THIBAULT, 1ère adjointe, en charge des affaires scolaires
M. Francisco GONCALVES , 2ème adjoint, en charge des travaux, de l’eau et du personnel technique
M. Vincent KINDMANN
M. Driss ESSADIKI
Mme Roselyne RENAUDIN
Mme Stéphanie LUCAS
M. Sébastien EVAIN
M. Yannick LEFEBVRE
M. Christian QUOUILLAULT
M. Emmanuel LEFEVRE
M. Alain GALET
Mme Véronique LE PÉROUX
M. Michel BLAU
Le conseil municipal se réunit environ tous les deux mois ; l’ordre du jour est affiché à l’extérieur de la mairie et vous pouvez découvrir les comptes-rendus dans la rubrique “vie communale”.
Les prochaines élections municipales auront lieu en mars 2026.
L’église est un long et unique vaisseau. Au nord-ouest une petite tour couverte d’un toit en pavillon dépasse à peine du toit de la nef. Les fenêtres du chœur ont été “régularisées” en 1912. On distingue de petites ouvertures anciennes au mur nord de la nef, maintenant aveugle, et un grand arc obturé au mur sud, près du clocher.
Le vitrail de la baie n° 7, datant de la 2ème partie du XVIème siècle (hauteur 0.40 m longueur 0.45 m), a été classé en 1908. Il représente Sainte Véronique de face.
Une belle charpente sculptée porte la voûte qui s’orne d’un soleil et de deux cœurs au rond-point, avec l’inscription de la date “1513”. Lors de la réfection des fenêtres, des fragments de vitraux du XVIème siècle ont été mêlé aux grisailles de Lorin (1894) et à des losanges blancs.
Au centre du chœur s’élève le maître autel ; à côté, un christ est installé sur une sorte de bloc en bois.
Contre le mur sud, un petit retable du XVIIIème siècle, laqué en gris pâle, encadre un tableau non signé représentant Saint-Didier.
Particularité de l’église : sur le toit de l’église figure un drapeau français.
TOMBES MILITAIRES DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE
La nuit du 30 juin au 1er juillet 1944 fut marquée par le bombardement massif de la gare de Vierzon par 118 Lancaster de la Royal Air Force.
A 01h00 les premiers appareils approchent de l’objectif et larguent de nombreuses fusées éclairantes au-dessus des voies ferrées afin de bien marquer l’objectif. La Flak réagit immédiatement avec des obus traçant. Le restant de la formation arriva et les bombardiers larguèrent leur cargaison de bombes sur la gare de triage durant vingt minutes. Les destructions furent considérables sur la gare de triage, sur le dépôt de machines SNCF et toute la partie nord-ouest de la ville. Grâce à la bonne visibilité, les résultats de cette mission furent jugés excellents par le haut commandement britannique.
Toutefois, à son retour, la formation de bombardiers fut repérée par les radars allemands. Pas moins de 12 bombardiers furent abattus dont 3 sur le territoire de l’Eure-et-Loir.
Le premier, le Lancaster 1 n° de série ME616 s’écrasa à Autheuil au sud de Châteaudun.
Vers 02h00, un second bombardier de la RAF, le Lancaster III n° de série ND842 (code “PH-K”) du 12 squadron est également abattu par la chasse de nuit allemande et s’écrase à Magny à 20 kms au sud-ouest de Chartres. Ce bombardier avait décollé de sa base anglaise de Wichemby à 22 h 12 avec pour mission de bombarder la gare de Vierzon.
L’ensemble de l’équipage canadien succomba la mort et les corps furent inhumés au cimetière communal de Magny, où ils reposent aujourd’hui encore. Tous les aviateurs au nombre de 7 ont été tués.
Composition de l’équipage du Lancaster ND482
Pilote P/O Léonard HONOR, RAF, matr. 172595
Mécanicien Sgt Thomas William WILLIS, 23 ans, matr. 164386
Navigateur F/S David Jones EVANS, 25 ans, RAF, matr. 1337333
Bombardier F/S Joseph Francis KAWUCHA, 26 ans, RCAF, matr. J/89925
Radio-opérateur/Mitr. Sgt Joseph Edward MASSEY, RAF, matr. 1585804
Mitrailleur Sgt Joseph GILL, RAF, matr. 2209425
Mitrailleur F/S George CHAFFE, 33 ans, RAF, matr. 1602209
LES POMPES
Chaque hameau disposait d’une pompe pour la distribution de l’eau
Magny est une petite commune du centre-ouest de la France, située dans le département de l’ Eure-et-Loir et de la région Centre Val de Loire.
Elle est membre de la Communauté de communes “Entre Beauce et Perche”.
Les habitants et habitantes de la commune de Magny sont appelés les Magnusiens et les Magnusiennes.
Les 669 habitants du village de Magny vivent sur une superficie totale de 13 km2 avec une densité de 50 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 184 m.
Les communes voisines sont Marchéville, Cernay, Ollé, Blandainville, Illiers-Combray et Bailleau-le-Pin.
La grande ville la plus proche de Magny est Chartres et se trouve à 20 kilomètres au nord-est .
La gare la plus proche de Magny se trouve à Magny (Magny – Blandainville). (voir lien et détail dans la rubrique présentation)
La commune de Magny est composée d’un bourg et de 14 hameaux :
– Le Tremblay
– Bienfol
– Bréhainville
– Boisseau
– Boissay
– Harville
– La Charmille
– La Gouletterie
– La Halte (gare)
– Le Bois de Magny
– Le Bois de la Motte
– Le Bois des Noues
– Montperthuis
– Mousseaux
Constituée majoritairement de terres agricoles, Magny est la 3ème commune de canton d’Illiers-Combray en nombre d’habitants.
Magny est desservie par le réseau T.E.R. Centre de Paris à Droué. La gare de Magny – Blandainville est située au hameau La Halte en direction de la RD 921.
Pour le TER, vous pouvez consulter le site ci-dessous :
BLASON
En faisant des recherches, Monsieur Raymond, maire de MAGNY de 1959 à 1988, a trouvé la gravure d’un blason sur la poutre de l’église St Didier.
Il s’agissait de celui de Sévin d’Azur de la Gerbe d’Or qui était enterré dans l’église. De ce blason, représentant une perdrix et une gerbe de blé, Monsieur Marcé Raymond en a créé un écusson divisé en deux parties: en haut sur fond “azur”, une perdrix en vol au naturel et en bas sur fond “gueules” (= rouge), une gerbe de blé d’or.
Depuis qu’il a été adopté en 1982 par le conseil municipal, cet écusson identifie de manière héraldique la commune de Magny et orne les plaques de rue de la commune.
28 Septembre 1924, inauguration du monument aux morts
UNE NOUVELLE ECOLE, UNE NOUVELLE MAIRIE
L’ancienne école de Magny, composée de 3 classes, dans un bâtiment style “Jules Ferry”, ne suffisait plus pour accueillir les élèves de plus en plus nombreux. Dans un premier temps, ont été ajoutés, un bâtiment modulaire dans la cours de récréation et un autre dans le jardin arrière de l’école. Les repas du midi étaient servis dans la salle des fêtes, le restaurant scolaire devenant lui aussi trop petit.
Face à cette situation, le conseil municipal a fait le choix, en 2010, de lancer le projet de construction d’une nouvelle école.
Après 3 ans de travaux, le nouveau Groupe Scolaire de Magny, nommé “Claude Daniel”, (ancien instituteur et ancien adjoint) a été inauguré le 9 septembre 2016. Située Route de Bréhainville, cette école moderne accueille, depuis mai 2015, les enfants de Magny, Marchéville et Cernay, de la petite section au CE1.
Suite à l’ouverture de la nouvelle école, la mairie a intégrée les locaux de l’ancienne école et les locaux de l’ancienne Mairie ont été vendus.
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